dimanche 1 novembre 2015

Vieillissement de la population et prise en charge de la dépendance

En termes de protection sociale, la France fera face à de nombreux défis dans les prochaines années. Parmi ces défis, il y a la dépendance. Les conséquences des mutations démographiques des années et notamment du babyboom commencent à se faire ressentir.
Aujourd’hui, les estimations annoncent près de 23 millions de français âgés de plus de 65 ans en 2030. Et 2030, c’est demain. Pour l’instant, les mesures décisives tardent à être prises et les pouvoirs publics restent inopérants.
Nous avons tous un membre de notre famille ou un proche touché par la dépendance. Et pour affronter cette situation, chaque famille tente tant bien que mal de faire face à la situation. Il faut rappeler que les dépenses mensuelles d’une personne dépendante s’élèvent à près de 2500 euros en établissement spécialisé et plus de 1800 euros si elle est maintenue à domicile. Les aides proposées par l’Etat et les indemnisations des contrats d’assurance restent donc insuffisantes par rapport aux frais réels. Par conséquent, la question est comment voulons-nous traiter nos ainés et toutes les personnes dépendantes et quelle est la place que nous leur accordons dans la société française.
Au-delà de trouver les solutions de financement de la dépendance pour les prochaines années, il est important de définir une réelle politique d’accompagnement des personnes âgées et des personnes en dépendance. La dépendance nous met surtout en face de notre modèle social actuel.
La dépendance est qualifiée de 5ème risque de la Sécurité Sociale. Et il ne suffit pas seulement de trouver une façon plus sympa de les appeler en remplaçant l’expression « personnes âgées » par séniors ou tout autre terme. Bien qu’une loi ait été adoptée en 2014, les mesures prises restent insuffisantes. Les frais à charge des familles restent exorbitants qu’elles aient souscrit ou non une assurance dépendance. Il est vrai que la mesure permettant de pouvoir maintenir les personnes concernées à leur domicile est à saluer.
Toutefois, cela ne permettra pas de résoudre le problème de la dépendance qui doit être abordé dans sa globalité.
L’un des aspects qui pourrait beaucoup soulager les familles est la question du statut des aidants. Actuellement, les mesures juridiques, sociales et fiscales qui existent n’encouragent pas les proches (ou les tierces personnes) à pratiquer cette activité. Dans le dispositif actuel, l’éventuelle perte de revenus que peut avoir un descendant qui choisit de devenir aidant n’est pas suffisamment compensée. Les salariés qui décident de s’occuper d’un proche peuvent bénéficier sous certaines conditions d’un congé de soutien familial ou d’un congé de solidarité familiale.  Le congé de soutien familial a une durée de 3 mois renouvelable sur une période maximum d’un an. Quant au congé de solidarité familiale, il a une durée de 3 mois maximum renouvelable une fois. L’indemnisation associée s’élève à 55,15 euros par jour pendant 21 jours maximum (et de 27,58 euros par jours pendant 42 jours dans le cadre d’un temps partiel). On peut constater l’insuffisance de ce dispositif à deux niveaux :
-          Il y a d’abord l’aspect financier, l’indemnisation proposée ne compense pas toujours les revenus des aidants. Ces derniers sont souvent confrontés à une baisse de leurs revenus
-          Ensuite il y a le coté durable des solutions proposées aux aidants.
Si on tient compte de l’augmentation de l’espérance de vie et du fait qu’une personne peut être dépendante pendant plusieurs années, le dispositif actuel ne peut pas à lui seul améliorer la situation des personnes dépendantes. Une solution plus globale intégrant une réelle approche sociale et une plus grande marge de manœuvre des assureurs pourrait améliorer la prise en charge de la dépendance.
Aujourd’hui, les assurances proposent trois sortes de contrats : les contrats d’assistance, les contrats de  prévoyance et les contrats d’épargne. Pour le moment, le marché de la dépendance reste encore très ouvert et les acteurs de l’assurance ne s’y sont pas tous lancés. Quant au public, il reste encore très prudent. Nombreux sont ceux qui préfèrent souscrire un contrat d’assurance vie avec une option dépendance.

Sur le plan social, il est temps de se poser la question de la place des personnes dépendantes dans notre société. Cela implique un choix et une orientation politiques clairs  qui détermineront aussi la position des différents acteurs face à cet enjeu. Pour le moment, le projet de loi sur l’adaptation de la société au vieillissement est encore en discussion. 

mardi 15 septembre 2015

Bien choisir son assurance jeune conducteur

Se décider pour une assurance auto, ça n'est pas très simple, et parfois, ça devient même un parcours du combattant. Et quand on parle des jeunes conducteurs, on parle souvent d'accidents.
Dès lors, comment faire pour trouver une assurance jeune conducteur abordable ? Des tarifs intéressants sont proposés sous certaines conditions.

L'assurance jeune conducteur est obligatoire mais parfois difficile à choisir

Passer son permis, c'est considéré comme un très gros avantage pour les jeunes. Cela ouvre des portes aussi bien au niveau personnel que professionnel. Mais l'achat d'une voiture implique nécessaire une assurance.
Il en va de même pour la majorité des assurances, il est conseillé de faire une recherche en ligne, et également d'envoyer des demandes de devis. Le comparatif des assurances jeune conducteur est la clé.
Comme ils manquent d'expérience et sont plus agressifs, les jeunes automobilistes ont davantage d'accidents que les automobilistes qui sont plus expérimentés et plus âgés. C'est pourquoi les assureurs proposent des prix d’assurance jeune conducteur élevés.
Néanmoins, les compagnies ont créé des polices d’assurance adaptées avec certaines options qui permettent de faire des économies. Il est donc important de faire plusieurs demandes de devis et de discuter les options pour tout clarifier au maximum.

Est-il possible de faire des économies sur son assurance auto

Pour proposer des remises et tarifs attrayant sur une assurance jeune conducteur, on trouve des options et des astuces. Ainsi, l’assurance au kilomètre permet d’économiser de 30 à 40% sur le cout que représente une assurance jeune conducteur basique.
Dans le même esprit, il est aussi possible de choisir les heures de la journée auxquelles on est assuré. Ça peut paraître restrictif, mais permet d'économiser. Il ne faut donc pas négliger ces possibilités, surtout dans des conditions financières limitées.
Et la conduite accompagnée, elle aussi, est une solution intéressante. Ceux qui ont opté pour cette alternative ont des prix plus bas sur leur assurance auto. La conduite accompagnée est proposée à tous, dès l’âge de 16 ans.
Les conducteurs en herbe doivent suivre 20 heures de conduite, passent avec succès l'examen du code de la route et roulent ensuite un minimum de 3000 km obligatoirement avec leurs parents. Les résultats obtenus au permis sont ensuite meilleurs et les tarifs des assurances sont plus bas. Il s’agit donc d’une solution à privilégier.
Choisir la bonne assurance jeune conducteur n’est pas une chose facile. Cela suppose de faire une recherche, de faire un comparatif complet des offres trouvées avec forces et faiblesses. Il ne faut pas se concentrer uniquement sur le tarif mais tout considérer.
En s'organisant un minimum, il est idéal de demander plusieurs devis, et de considérer des options comme l'assurance au kilomètre, les limitations horaires ou la conduite accompagnée. Sachez enfin que le type de véhicule influence également le prix de l’assurance jeune conducteur, il est donc préférable de se contenter d'une petite voiture.

L'assurance jeune conducteur est généralement assez chère, mais on trouve des possibilités pour faire des économies.

jeudi 3 septembre 2015

5 solutions de placements alternatifs face à la baisse du livret A

Avec la baisse des taux du livret A (et du LDD – Livret de Développement Durable), de nombreux  français retirent leur épargne de ce placement au profit d’autres solutions plus performantes.
En juillet 2015, la décollecte était estimée à plus d’1 milliard d’euros. Pour le 1er semestre 2015, le livret A affiche une décollecte de 3.41 milliards d’euros. Et cette tendance ne fera que s'accroître dans la mesure où le taux fixé à 0,75% ne décollera pas sitôt. Ce qui se pousse les français à se tourner vers d’autres placements plus avantageux.
Derrière cette baisse de taux, la principale question à se poser est surtout quels sont les placements alternatifs qui permettent de placer son économie de façon sécurisée et rentable. A vrai dire, cette question reste compliquée dans la mesure où la réponse est en fonction de votre âge, de vos objectifs et du montant de votre épargne. Voici quelques solutions de placement qui pourraient se substituer à votre livret A :

1-      Si vous avez moins de 26 ans et que vous souhaitez épargner petit à petit pour vos futurs projets le livret jeune est un bon départ. Son taux est minimum de 0,75% mais la plupart des banques propose un taux de 2% en moyenne. Les fonds sont disponibles à tout moment et les virements sont possibles à partir de 10 euros. Seul bémol, le plafond de 1600 euros qui peut être atteint assez rapidement par l’épargnant. 

2-      Si vous souhaitez une épargne sur le long terme, le produit le plus adapté est l’assurance vie. Grace à la possibilité d’effectuer des rachats en cas de besoin de liquidité. Si vous êtes plutôt prudent, les fonds euros permettent de lacer votre épargne surement sans prise de risque majeur. En revanche pour un épargnant qui souhaite prendre plus de risque et avoir une rémunération plus intéressante, un mix entre les fonds en euros et les unités de compte (UC) peuvent être un bon choix. Pour plus d’information sur le fonctionnement de l’assurance vie et les unités de compte je vous invite à lire mes précédents posts ici et ici.

3-       Si vous avez un projet immobilier à moyen terme, le PEL (Plan d’Epargne Logement) est fait pour vous. Avec un taux de 2% brut soit 1,69% il permet de se constituer lentement mais surement un apport pour un projet immobilier. Le montant maximum est de 61 200 euros et il est possible de constituer une épargne pendant 10 ans. Cependant, il faut garder à l’esprit que ce placement n’est pas exonéré des prélèvements sociaux qui sont fixés à 15,5%

4-      Les SCPI peuvent également constituer une solution. Communément appelé « pierre papier », ce placement accessible à tous les budgets vous permet d’acquérir des parts dans une société qui possède un parc immobilier. L’investissement en SCPI affichait un rendement de 5% en 2014. L’épargnant a la possibilité d’investir dans des parcs immobiliers sans avoir à se préoccuper de la gestion. Il lui faudra cependant porter une attention particulière aux frais de gestion, au taux d’occupation et au rendement annoncé.

5-      Si vous êtes bons joueurs pourquoi ne pas tenter de placer une partie de votre épargne en bourse ? Cela est notamment possible via les Plans d’Epargne en Action (PEA) proposés par les banques, les compagnies d’assurance et les sociétés de gestion de patrimoine. Les capitaux doivent rester investis au moins 5 ans. En cas de retrait avant ce délai, le taux d’imposition est de 38% à partir du 1er euro les deux premières années et 34,5% entre la deuxième et la cinquième année. Il est possible d’investir jusqu’à 150 000 euros sur un PEA. 

Pour finir, il est utile de rappeler deux éléments. D’abord, les solutions d’épargne doivent être en adéquation avec les objectifs de chacun.  Que ce soit pour préparer sa retraite, avoir de la liquidité disponible ou financer un projet, il est important de bien choisir son placement et de se renseigner suffisamment sur la fiscalité. Ensuite, il faut souligner que tout investissement comporte des risques. Lorsqu’on investit dans des produits financiers, il faut accepter également la part de risque. Le principal conseil est de diversifier ses placements  et de miser sur des rendements à long terme.

lundi 8 juin 2015

Comment bien comparer votre assurance habitation

Comparateur assurance habitationVous êtes nombreux à être à la recherche d’une assurance moins chère notamment pour l’habitation. De nos jours, de nombreux sites et comparateurs sont à votre disposition pour vous permettre de proposer les meilleures offres. Cela est plutôt positif car les clients peuvent mettre en concurrence de nombreux contrats afin d’en sélectionner celui qui leur convient.

Toutefois, attention car la meilleure offre n’est pas forcément l’offre la moins chère. En matière d’assurance habitation, de nombreux aspects sont à prendre en compte lors de la comparaison. Et il vaut mieux payer 5 euros plus cher pour une couverture optimale. Plutôt que d’être mis devant le fait accompli le jour d’un sinistre.
Sur les forums d’assurance, on constate de nombreux messages relatant des litiges ou des incompréhensions entre assureurs et clients. Les cas les plus fréquents portent sur les montants d’indemnisation.
Tout d’abord il vous faut définir votre besoin ; voulez-vous payer moins cher ou avoir une protection maximale ?
Si vous êtes par exemple locataire et souhaitez juste payer votre assurance habitation moins chère vous pouvez :

dimanche 24 mai 2015

Du nouveau sur l'assurance emprunteur depuis le 1er mai

assurance emprunteur loi hamon lagarde
Assurance emprunteur prêt immobilierVoilà un changement majeur intervenu dans l'assurance emprunteur et qui a failli passer inaperçu. En effet, depuis le 1er mai 2015, les clients ont la possibilité de comparer les différents contrats d’assurance emprunteur proposés et auront plus de facilité à choisir une assurance emprunteur différente de celle proposée par leur banque.

Depuis quelques années, l’assurance emprunteur a connu de nombreuses mesures qui visaient à encourager la concurrence. En 2010, la loi Lagarde autorisait les particuliers à souscrire leur assurance emprunteur auprès d’un organisme différent de leur banque à partir du moment où le niveau de couverture était équivalent. Depuis l’année dernière les assurés avaient déjà la possibilité de résilier leur contrat d’assurance de prêt lors de la première année de leur signature de prêt grâce à la loi Hamon. Je vous en parlais déjà ICI.

Toutefois, dans la pratique cela reste encore compliqué car les clients craignent souvent un refus de prêt immobilier. De plus, certaines banques avaient toujours des arguments plus ou moins flous pour refuser un contrat d’assurance différent du leur. Généralement la raison évoquée est le fait que la couverture du nouveau contrat n’est pas équivalente ou est insuffisante en comparaison avec son assurance emprunteur.

Dorénavant, les règles de refus seront plus claires aussi bien pour les banques que pour les clients. A la demande de Bercy, des travaux ont été menés par Comité Consultatif du Secteur Financier (CCSF). 


mercredi 20 mai 2015

5 bonnes raisons de faire un diagnostic assurance indépendant

5 bonnes raisons de faire un diasgnostic assurance indépendant
Des contrats d’assurance tout le monde en a et parfois nous en possédons plusieurs. Mais une fois souscrits nous sommes nombreux à les mettre aux oubliettes ! Et si je vous disais que vous avez la possibilité de gagner de l’argent en scrutant de plus près vos contrats d’assurance. 

 Voici 5 bonnes raisons de faire un diagnostic d’assurance


1. pour économiser en renégociant vos contrats 

2. pour ajuster votre couverture à vos besoins actuels 


3. pour faire le point sur les couvertures dont vous bénéficiez 


4. pour traquer les contrats qui font doublons 


5. pour améliorer vos connaissances en assurance et mieux connaitre vos droits 


Alors maintenant la balle est dans votre camp ! A vous de jouer afin de faire des économies. Si vous êtes un particulier et que vous souhaitez réaliser un diagnostic de vos différents contrats (prévoyance, santé, auto, habitation...), vous pouvez m'envoyer un mail sur  l'adresse suivante : n.minetou@gmail.com 

mercredi 13 mai 2015

Enfin un droit à l'oubli dans les assurances

Enfin un droit à l'oubli dans les assurances
Voici une nouvelle qui devrait en réjouir plus d’un et qui installe une certaine équité dans l’attribution des prêts et la tarification des contrats d’assurance.
Depuis fin mars 2015, un protocole d’accord pour le droit à l’oubli a été signé par les assureurs. Cette décision, saluée par le président de la République, est importante pour toutes les personnes ayant été atteintes du cancer ainsi que pour leur entourage. En France près de 350 000 personnes sont atteintes de cancer chaque année.
assurance droit à l'oubli

Qu’est-ce que le droit à l’oubli ?
Le droit à l’oubli permet aux personnes ayant été atteintes d’un cancer de ne pas avoir à le déclarer lorsqu’elles veulent souscrire une assurance emprunteur pour leur prêt immobilier. Actuellement, des questionnaires médicaux sont obligatoires pour la souscription de certains prêts. Et parmi les questions auxquelles il faut répondre, certaines sont en rapport avec les traitements chimiothérapiques qu’aurait subi le client. Grâce à cette mesure, les personnes guéries du cancer seront ont accès à certains contrats d’assurance qui étaient difficiles voire impossibles à souscrire jusqu’ici.

lundi 23 mars 2015

Loi Alur et détecteur de fumée

Loi Alur détecteur de fumée et assurance habitation
assurance loi alur détecteur de fuméePour commencer un petit rappel de ce que signifie la loi ALUR : c’est la loi pour l’Accès au Logement et un Urbanisme Rénové.
Pourquoi cette mesure ?

Dans la loi Alur, il est plutôt question du logement et du marché de l’immobilier. Mais l’aspect qui nous intéresse est surtout l’installation obligatoire des détecteurs de fumées dans les logements. Cette obligation rentre dans le cadre des mesures de sécurité contre les incendies.

Depuis le 8 mars 2015, l’obligation entre en vigueur pour toutes les habitations. Et pour tous les propriétaires ayant acquis leur logement au plus tard le 8 mars 2015, l’installation est reportée au 1er janvier 2016. A noter que tous les logements sont concernés peu importe leur surface ou leur localisation.

Comment se mettre en conformité ?


mardi 24 février 2015

L'assurance et la nouvelle consommation

La nouvelle consommation l'économie collaborative et la nouvelle économie et les impacts sur les assurances
assurance nouvelle économie collaborative L’émergence depuis plusieurs années d’une société du partage est qualifiée comme LA 3ème révolution industrielle. Partout à travers le monde l’économie collaborative ou économie du partage progresse à grands pas (crowfouding, covoiturage, coworking, vente et échange entre particuliers…). Au-delà d’une nouvelle façon de consommer c’est surtout l’approche qui est significative. A ce jour, nous sommes 48% de français à adopter une consommation collaborative
Face à ces nouvelles habitudes, l’assurance ne peut continuer à proposer des produits classiques qui ne tiennent pas compte de ces évolutions. L’économie de partage doit être considérée comme une opportunité pour les assureurs. Pour aller plus loin, on peut même s’avancer en disant qu’il en va de la survie de l’assurance. Ces changements touchent tous les domaines et commencent à impacter l’offre en matière d’assurance.

lundi 2 février 2015

Les assurances dans le football

Le foot pour moi c’est une passion. Un sport que je suis depuis maintenant 20 ans avec du plaisir, des interrogations, des coups de gueule et d’immenses moments de bonheur. Un match de foot, c’est pour moi l’occasion de crier, de râler, de jubiler ou tout simplement de refuser de dîner en cas de défaite.
Mais chuuutt une fille qui adore le foot ça peut paraître bizarre…même en 2015. Travaillant dans les assurances depuis quelques années, je me suis interrogée ce dimanche devant ma télé sur les assurances de ces chers footballeurs et de leurs clubs.


Que se passe-t-il quand un joueur acheté bien cher se blesse pendant toute une saison ? Car oui ces hommes et femmes que nous voyons courir tous les weeks ends sur les pelouses font un métier risqué !

Assurance : entrée en vigueur de la loi Hamon

Assurance et entrée en vigueur de la loi Hamon et les résiliations de contrat
assurance loi hamon résiliationÇa y est depuis le 1er janvier 2015 il est possible de résilier à tout moment son contrat d’assurance. Dorénavant, il n’y a plus d’obligation à attendre la date anniversaire de son contrat pour pouvoir le résilier. En effet, l’article 61 de la loi Hamon permet de « résilier sans frais ni pénalités les contrats et adhésions tacitement reconductibles. La résiliation prend effet un mois après que l'assureur en a reçu notification par l'assuré, par lettre ou tout autre support durable. » Tout assuré peut donc faire valoir ce droit et résilier son contrat sans motif et à tout moment. Voici quelques informations pour vous aider à mieux tirer partie de cette loi. 

Pourquoi ce blog ?

Après quelques années d'existence de ce blog, l’heure est venue de me présenter à vous !

Je suis Minetou, une professionnelle des assurances passionnée par ce domaine (si si vous avez bien lu) avec un parcours apparemment « atypique » et surtout un dynamisme et une folle envie de partager !

Ce blog me permet de partager des informations sur les assurances, de répondre aux questions que vous vous posez souvent sur vos contrats ou votre épargne et de décrypter le marché.

De temps en temps, je partagerai également avec vous mes coups de cœurs, mes coups de gueule ou encore mes astuces.

Alors tenez vous prêts à voyager avec moi dans le monde des assurances !

Me contacter

Nom

E-mail *

Message *

Blog Archive

© Copyright NMinetou Tous droits réservés. Fourni par Blogger.

Popular Posts